Une "interviouve" de notre Consul Général

Voici une interviouve de notre Consul Général parue dans la revue Globe Trotter.

(information transmise par la Chancellerie, dont je me permets de reprendre la francisation du terme interview...)

Il me semblait que l'équivalent français d'"interview" était "entretien" (la traduction littérale étant "entrevue"). Mais je ne vais pas commencer à contredire la Chancellerie...

Merci Pierre pour ce document, mentionné sur la page du groupe Facebook "Royaume de Patagonie et d'Araucanie"
Voici des passages qui m'ont beaucoup plu :
"Pour peu que l'on soit romanesque, il est "emmerdant" de n'avoir que les sentiers de grande randonnée pour s'évader. Le GPS fout tout par terre."
"Quand on voyage on transporte une sorte d'île intérieure."
"La Patagonie c'est d'abord quelque chose que l'on a dans la tête."
Il y a aussi cette phrase terrible concernant les Indiens : "Ils ont vu arriver Magellan, puis d'autres, et ils ont su qu'ils n'étaient rien".

Je pense que certains des Hussards littéraires dont Roger Nimier ont fait école à la Chancellerie: ils aimaient, non pas utiliser un mot français mais franciser l'écriture des mots anglais ou encore les sigles en partant de la phonétique.
Ainsi coktail devenait coquetèle, chewing-gum chouine-gomme ou encore TSF téhessef...
(je ne garantie pas mes écrits à 100%!)
Ceci explique peut-être cela!

Clémence a écrit:. Le GPS fout tout par terre."
"Quand on voyage on transporte une sorte d'île intérieure."
"La Patagonie c'est d'abord quelque chose que l'on a dans la tête."
Il y a aussi cette phrase terrible concernant les Indiens : "Ils ont vu arriver Magellan, puis d'autres, et ils ont su qu'ils n'étaient rien".

... et excellentes remarques de Clémence.
Le meilleur moyen de connaître un pays, une ville - en fait on n'y fait que sa connaissance, tout juste sa visite, et pas sa re-connaissance - c'est de s'y perdre ...

Très bien cet article. Notre consul général paraît en pleine forme. Ses propos sont aiguisés à souhait.

Que du bonheur !

Admin a écrit:Je pense que certains des Hussards littéraires dont Roger Nimier ont fait école à la Chancellerie: ils aimaient, non pas utiliser un mot français mais franciser l'écriture des mots anglais ou encore les sigles en partant de la phonétique.
Ainsi coktail devenait coquetèle, chewing-gum chouine-gomme ou encore TSF téhessef...
(je ne garantie pas mes écrits à 100%!)
Ceci explique peut-être cela!

Jacques Perret est également coutumier du fait. Son "foutebôle" est particulièrement savoureux...